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Writer's pictureAmy W.

Utiliser 'Google Drive' pour la collection des données dans un cours d'écologie

Updated: Aug 5, 2019

EPU976 - Projet 1 - Mise en dialogue (Partie I de II)


Pour le premier projet du cours EPU976, on était inviter de rédiger un billet de blogue critique sur deux médias sociaux actuellement exploités dans notre domaine d’enseignement en analysant ces environnements du point de vue pédagogique, technologique et éthique, en appuyant nos propos sur des références théoriques récentes et des illustrations réelles ou potentielles.


Pour un des deux médias sociaux que j'ai déjà utilisé dans mon domaine d'enseignement, j'ai choisi Google Drive - un platforme d'information en nuage ("cloud computing technology") pour sa application dans la collection des données pendant des laboratoires de terrain dans un cour d'écologie forestière.

Les plateformes d’informatiques en nuage (« cloud computing technologies »)


Google Drive, comme Google Docs/Sheets/Forms. Les technologies de « cloud computing » constituent une forme d'environnement d'apprentissage virtuel et personnel à tous ceux qui ont un accès Internet. Cette technologue donne les étudiants accès au Google Calendar pour suivre les horaires de cours et laboratoires. Google Sheets aide les étudiants à collecter, saisir, organiser et gérer des données des laboratoires pour leur groupe et pour la classe en entier. En plus, les étudiants utilisant Google Docs pour compléter leur rapport de laboratoire en groupe. Sur tous les applications, les étudiants sont capable de travailler là-dessous simultanément, de n’importe où ils sont, en éviter les conflits d’horaires entre les étudiants. Ils sont capables de partager et répondre aux commentaires et idées de leurs pairs. Ils ont aussi l’option de parler en chat ou faire des conférences visio dans Google Hangouts. La pratique de ces compétences est extrêmement utile pour développer des compétences autonomes et pour travailler en équipes de collecte de données. Ce type de travail en équipe, de flexibilité et de capacité de résoudre des problèmes en collaboration est également des compétences très recherchées par les organisations professionnelles et qui sont essentielles pour les étudiants à apprendre (Johnson, 2009). En particulier dans le domaine de l'écologie, les chercheurs sont souvent censées contribuer aux banques de données collaboratives internationales. Un exemple de ceci est le « Global Biodiversity Information Facility » (gbif.org, 2019) - un base de données pour la biodiversité pour toutes les formes de vie sur la terre.


En vue pédagogie, les plateformes d’informatiques en nuage ont le potentiel d’améliorer les méthodes d’enseignement basées sur le constructivisme et l’apprentissage coopératif (Denton, 2012). Richardson (2003) décrit l'amélioration du constructivisme par le fait que les étudiants intègrent leurs connaissances antérieures aux informations inconnues pour créer de nouveaux apprentissages, tels que la récupération et le partage d'informations, la collaboration synchrone et la publication sur l’Internet (Denton, 2012). Le constructivisme met également l'accent sur les connaissances construites par la société (dans ce cas, les étudiants) – alors même si la structure des feuilles de données dans Google Sheets sont crées par l’enseignant, c’est les étudiants qui compilent et créent les informations à utiliser dans le rapport de laboratoire.


En vue éthique, autre que le fait que l'utilisation d'un réseau social en classe suppose que tous les élèves ont le même accès égale aux technologies et l’Internet, il existe bien entendu d'autres questions éthiques. En utilisant les plateformes d’informatiques en nuage, il y a souvent la question de la propriété et partage des données du cours, car ça suppose que tous les étudiants vont participer également à la collection des données. La question qui se pose toujours c’est : « si un étudiant ne vient pas au laboratoire, devrait-il être autorisé à accéder les données de la classe, ce qui lui permettrait de terminer son travail sans avoir effectivement terminé la partie du projet consacrée à la collecte de données? » Cela crée également un niveau d'incertitude pour les enseignants quant à la manière d'évaluer le travail des élèves dans des environnements de collaboration. Cependant, l'équilibre entre enseigner l'apprentissage collaboratif et évaluer les contributions individuelles reste préoccupant (Schroeder, Minocha et Schneider, 2010).


En conclusion


En conclusion, les réseaux sociaux peuvent être des outil pédagogique effectif pour apprendre des étudiants, en particulaire par des méthodes d’apprentissage reliées avec le constructivisme. Par incorporer les technologies, ca permettre aux universités de rester à jour avec un curriculum souple et des étudiants motivés and engagés. Il est toutefois nécessaire de prendre en compte les limites éthiques et de veiller à ce que les universités et les instructeurs soient prêts à appliquer efficacement leur utilisation.


 

Références :


Denton, D.W. (2012). Enhancing Instruction through Constructivism, Cooperating Learning and Cloud Computing. TechTrends 56(4):34-41.

GBIF.org (2019), GBIF Home Page. Réparé https://www.gbif.org


Richardson, V. (2003). Constructivist pedagogy. Teachers College Record, 105:1623-1640.

Schroeder, A., Minocha, S., Schneidert, C. (2010). The strengths, weaknesses, opportunities and threats of using social software in higher and further education teaching and learning. Journal of Comptuer Assisted Learning 26 :159-174.


Schroeder, A., Minocha, S., Schneidert, C. (2010). The strengths, weaknesses, opportunities and threats of using social software in higher and further education teaching and learning. Journal of Comptuer Assisted Learning 26 :159-174.

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